Le thème des eaux souterraines a été débattu hier, lors d’une réunion du groupe de travail (GT) du conseil national brésilien de l’environnement (Conama). Le texte sera discuté aujourd’hui par les chambres techniques de contrôle de la qualité, du Conama, et des eaux souterraines, du conseil national des ressources hydriques (CNRH).
Durant un an, le GT, qui peut compter avec la participation des conseillers et des non-conseillers, a débattu sur la proposition de résolution. Cette semaine, une trentaine de personnes a participé à 3 réunions qui ont scellé le texte. «Cela a été très positif», a déclaré l’assesseur technique du GT, Cleidemar Valério. «Nous arrivons à un bon niveau de consensus, et ce, en plusieurs points», a-t-il complété.
Etant donné que la question de l’eau souterraine est un sujet spécifique du CNRH, le Conama ne s’est exprimé que sur le respect de la classification et des directives. Les deux sont importants pour la préservation et le maniement des eaux souterraines qui peuvent être utilisées à diverses fins, eau potable incluse.
Les aquifères
Le meilleur exemple d’eau souterraine est formé par les aquifères. Ces formations hydrogéologiques stockent de grandes quantités d’eau résultant de la séparation des matières rocheuses. L’un des aquifères les plus importants du monde est celui de Guarani, qui est présent au Brésil, au Paraguay, en Uruguay et en Argentine. Son volume est estimé à 1,3 millions de mètres cubes d’eau.
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