Les analyses préliminaires ont démontré que les cas de fièvre aphteuse détectés mercredi près de Londres sont semblables à ceux identifiés en août dernier.
Ces résultats étaient attendus mais n’en demeurent pas moins surprenants. En effet, la période d’incubation de la maladie étant de 14 jours, et aucun cas n’ayant été détectés durant cette période, la Grande-Bretagne se pensait à l’abri d’un nouvel épisode.
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