A l’heure où l’ex vice président américain Al Gore était distingué du prix Nobel de la Paix, un juge anglais validait la thèse selon laquelle son documentaire très polémique sur l’état de la planète, « Une vérité qui dérange » serait truffé d’erreurs scientifiques.
Une plainte avait été déposée devient la haute Cour de Londres par le directeur d’une école britannique qui avait décelé dans le documentaire « Une vérité qui dérange », documentaire pour lequel Al Gore s’était vu décerné un Oscar à Hollywood, « de graves incertitudes » et l’accusait de « propagande politique » pour le candidat malheureux des élections américaines de 2000.
Le juge de la Haute Cour de Londres a donc accordé du crédit aux accusations de cet homme et s’est appuyé sur l’Education Act de 1996 qui réglemente la diffusion de littérature ou création audiovisuelle « politiquement partisane » pour statuer. Le documentaire ne sera diffusé dans les écoles anglaises qu’accompagner d’une brochure destinée à éviter « l’endoctrinement des élèves » .
Parmi les incertitudes pointées par le juge, la fonte des neiges du Kilimandjaro montrée comme un signe du réchauffement climatique alors que les experts ont été forcé de reconnaitre que cela n’était pas le cas. Ou encore, le film sous-entends que le réchauffement climatique serait à l’origine de l’ouragan Katrina. Or, l’expert du gouvernement britannique a admis qu’il n’était pas possible d’attribuer des évènements uniques en leur genre tels que les cyclones, au réchauffement climatique.
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