Selon Dominique Maillard, président du directoire du gestionnaire du réseau de transport d’électricité français (RTE), une ouverture du capital du groupe est une « possibilité juridique » mais pas « un impératif ».
« C’est une possibilité juridique« , a indiqué Dominique Maillard. Mais « ce n’est pas à moi de décider de mes actionnaires, c’est à l’Etat et à mon actionnaire de choisir le moment qui leur paraîtra opportun pour le faire (…) Maintenant, c’est une décision politique« .
S’il était validé, un tel scénario serait important, « mais ce n’est pas un impératif et une nécessité« , a ajouté le président de RTE, filiale du groupe EDF.
Dominiqué Maillard a précisé que son groupe « n’a pas de problème de financement » car « les tarifs, tels qu’ils sont approuvés par l’autorité de régulation, sont justement calculés pour permettre à la fois d’assurer dans de bonnes conditions l’exploitation et de couvrir (les) investissements« .
François Loos, ministre délégué à l’Industrie à l’époque, avait affirmé en 2005 que l’ouverture du capital du RTE aurait lieu l’année suivante.
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