En début de semaine, Christophe de Margerie, directeur général du groupe pétrolier français Total, a indiqué que sa société était « le dernier rempart de la démocratie » en Birmanie.
« Je suis absolument content qu’il y ait une reprise de dialogue entre cette grande dame (l’opposante Aung San Suu Kyi) et la junte, c’est comme ça que ça doit se passer, c’est comme ça que nous avons toujours tout fait pour que ça se passe« , a déclaré Christophe de Margerie sur RTL.
« Nous avons été actifs mais de manière discrète dans ce domaine, c’est-à-dire pousser la junte à s’améliorer et très certainement à faire en sorte que nous puissions rester en respectant notre code de conduite« , a-t-il ajouté.
Le présence de Total dans le pays « reste plus que jamais nécessaire » et « ce n’est pas en faisant partir le dernier rempart de la démocratie dans ce pays que vous allez faire avancer les choses« , a indiqué le patron du groupe pétrolier.
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