Bercy a accordé à Gaz de France une hausse du prix du gaz de 4% à partir du 1er janvier.

Cette hausse est certes moins importante que celle réclamée par Gaz de France (6%) mais la Confédération nationale des administrateurs de biens (CNAB) s’inquiète des conséquences d’une telle décision.

« Le chauffage est l’un des postes des plus importants dans le poids des charges de copropriété. Une hausse du prix de gaz aura indiscutablement un effet mécanique sur le montant des charges des immeubles équipés d’un chauffage au gaz et ce nonobstant les efforts des syndics pour contenir la hausse de ces charges« , souligne Serge Ivars, Président de la CNAB.