Suite aux menaces de sanctions, le groupe pétrolier anglo-néerlandais Shell a imité ses concurrents en cédant aux exigences du gouvernement argentin qui lui demandait de baisser ses prix.
Juan Jose Aranguren, président de Shell en Argentine, a indiqué au quotidien argentin « La Nación » qu’il devait tenir compte de la situation du marché argentin et des exigences des gérants de ses stations service.
Alors que les concurrents du groupe anglo-néerlandais avaient décidé de revoir leurs prix à la baisse, Shell avait refusé de faire de même. Le gouvernement argentin avait alors menacé Shell de lourdes sanctions.
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