La communauté internationale est aujourd’hui confrontée à une hausse régulière de la consommation d’électricité dans le monde, à la nécessaire lutte contre l’effet de serre dans un environnement énergétique marqué par un prix du pétrole durablement élevé et par l’épuisement attendu des gisements d’hydrocarbures.
Dans ce contexte, un nombre croissant de pays estiment que l’énergie nucléaire peut constituer une réponse aux besoins énergétiques futurs. Fin 2007, 25 réacteurs étaient en construction dans le monde (dont les 3/4 sur le continent asiatique), tandis que la World Nuclear Association comptabilisait au total 220 projets à l’étude. D’ici 2020, les perspectives de mise en service de nouvelles capacités de production d’électricité d’origine nucléaire sont estimées à 160 GW.
Cette relance du nucléaire dans le monde offre à EDF, leader mondial de l’exploitation nucléaire, l’opportunité d’être un acteur de cette relance. Son savoir-faire en exploitation et en ingénierie, enrichi par l’actuelle construction du nouveau réacteur nucléaire de type EPR à Flamanville (Manche), lui confère une légitimité et une crédibilité sans égales.
4 pays retenus
EDF souhaite être un investisseur et un partenaire industriel pour la construction et l’exploitation de nouvelles centrales nucléaires en Europe et dans le monde.
Quatre pays prioritaires ont été retenus par le Groupe : les USA et la Chine, où des accords industriels stratégiques ont été signés en 2007 dans le cadre de programmes d’équipement nucléaire, le Royaume-Uni, où le gouvernement a initié un processus de construction de nouvelles centrales, et la République Sud-Africaine, où EDF a des coopérations anciennes.
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