Hier, à New York et à Londres, les cours du baril de pétrole ont atteint de nouveaux records historiques. A New York, le baril de « light sweet crude » pour livraison en avril atteint 102,97 dollars lors des échanges électroniques d’après séance avant de clôturer à 102,59 dollars, en hausse de 3 dollars par rapport à la veille.

A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a clôturé hier pour première fois au-dessus du seuil des 100 dollars, à 100,90 dollars, après être monté à 101,27 dollars.

La hausse des prix du baril de pétrole s’explique par la faiblesse du dollar face à l’euro et des craintes sur le niveau jugé faible des réserves pétrolières face à une demande croissante, tirée par des pays émergents comme la Chine ou l’Inde.