Le baril de pétrole qui a enregistré hier de nouveaux records se rapproche de plus en plus du seuil psychologique des 120 dollars.
A New York, le baril de « light sweet crude » pour livraison en mai est monté jusqu’à 117,76 dollars, avant de clôturer à 117,48 dollars.
A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord pour livraison en juin, a grimpé à 114,86 dollars, avant de terminer en séance à 114,43 dollars.
Les hausses successives du baril sont notamment dues à la faiblesse du dollar et à des perturbations de la production d’or noir au Nigeria, premier producteur africain de pétrole.
Suite aux sabotages d’un oléoduc exploité par une filiale du groupe pétrolier anglo-néerlandais Shell au sud du Nigéria, la compagnie a annoncé hier une réduction de sa production de 169.000 barils de brut par jour.
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