Pour la première fois hier, le baril a frôlé le seuil symbolique des 120 dollars. Le baril de « light sweet crude » pour livraison en mai a clôturé à 119,37 dollars à New York après être monté jusqu’à 119,90 dollars.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin a lui aussi enregistré de nouveaux records en grimpant à 116,75 dollars avant de terminer en séance à 115,95 dollars.
Cette flambée des cours du pétrole est notamment due à la faiblesse du dollar, aux perturbations de la production d’or noir au Nigeria et au refus de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep) d’augmenter sa production dans l’immédiat.
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