Selon une étude très sérieuse de la firme Merrill DataSite, une des conséquences de la crise financière mondiale serait une baisse des rejets de CO2 dans l’atmosphère et ce, en raison de la baisse des déplacements d’affaires en avion.
Les déplacements des avocats d’affaires et conseillers parties prenantes des opérations de fusion et d’acquisitions en Europe avaient tout de même occasionné l’an dernier l’émission de près de 100.000 tonnes de CO2.
La crise du crédit ayant considérablement réduit le nombre d’opérations de ce type, et les banques ayant également limité les déplacements professionnels par mesure d’économie, ce sont autant de rejets en moins dans l’atmosphère.
10.000 arbres préservés
Par ailleurs, autre conséquence de cette crise financière, moins de contrats de fusion, ce sont autant d’économies de papier. L’année dernière, la préparation de telles opérations avaient nécessité plus de 112 millions de pages de papier, soit l’équivalent de 10.000 arbres.
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