Une dépêche AFP avait évoqué la mise en examen de plusieurs dirigeants du groupe Chimirec, soupçonnés d’avoir participé à un trafic de déchets dangereux dans l’Est de la France. Des précisions sont aujourd’hui apportées par le groupe français présidé par Jean Fixot.
Mis en cause par la justice dans une affaire de trafic de déchets dangereux, le groupe Chimirec publie aujourd’hui un communiqué afin de faire la lumière sur la réalité du dossier. « Procédure classique de ce type d’enquête, une mise en examen permet au Groupe d’avoir enfin accès au dossier en lui donnant les moyens de mener à bien, en toute sérénité, une défense constructive. Cette décision ne signifie en aucun cas une quelconque culpabilité, sachant que la plupart des chefs d’accusation reposent sur des témoignages de personnes licenciées de l’entreprise et non sur des éléments tangibles« .
Les dirigeants précisent qu’ils « envisagent l’avenir en toute confiance, sachant qu’ils ont toujours développé l’entreprise de façon à répondre au mieux aux besoins de leurs clients et aux exigences de l’administration tout en mettant l’accent sur la sécurité de leurs salariés« .
Commentaires récents