Jean-Louis Borloo, Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales, et Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’État chargée de l’Écologie, ont fait part ensemble de leur souhait de voir mis en place en France le centre d’alerte aux tsunamis et autres risques pour la méditerranée occidentale (couvrant le littoral français, celui de la péninsule ibérique et de l’Italie occidentale).
La Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’Unesco organise, depuis le 3 et jusqu’au 5 novembre à Athènes, la cinquième réunion du groupe intergouvernemental de coordination pour la mise en place d’un système d’alerte aux tsunamis et autres aléas côtiers en méditerranée et Atlantique du Nord-Est. La délégation française exprimera l’intention de la France de mettre en place, sur le territoire national, le centre régional d’alerte aux tsunamis pour la zone de la Méditerranée occidentale et de contribuer activement au réseau d’observations des données et à son développement.
Convaincre les partenaires européens
Ce centre sera financé par un consortium européen que la France va contribuer à développer. Les trois représentants de l’hexagone sont confiants dans la capacité de la délégation française à convaincre ses homologues de la pertinence du projet Français.
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