Sept jours après le départ de Nathalie Kosciusko-Morizet du secrétariat d’Etat à l’Ecologie, les associations écologistes s’inquiètent de l’absence de nomination et dénoncent la politique de la « chaise vide ».

Le collectif France Nature Environnement fait savoir par voie de communiqué que « le siège du Secrétariat d’Etat à l’Ecologie ne doit pas rester vide« . Pour l’association, « il serait regrettable que le ministère du développement durable soit doté de secrétaires d’Etat aux Transports, à l’Aménagement du territoire, au Grand Paris et pas à l’Ecologie« . Elle précise également que « la durée de la procédure de désignation du nouveau secrétaire d’Etat ne doit pas porter atteinte à son autorité« .

Selon une information parue dans Le Figaro, mais non encore confirmée, Nicolas Sarkozy aurait choisi de ne pas remplacer NKM et donc de supprimer purement et simplement le secrétariat d’Etat à l’Ecologie, qui dépend directement du ministère de Jean-Louis Borloo.