Selon une projection d’EcoAct, en contraignant les franciliens d’utiliser leur voiture personnelle, la grève des transports en commun en Ile-de-France devrait générer une pollution atmosphérique 45 fois plus forte qu’en temps normal.
Entreprise spécialisée dans la promotion du respect de l’environnement et le développement durable, EcoAct a estimé l’impact environnemental du mouvement de grève en Ile-de-France, en terme de pollution atmosphérique. Et les conséquences concrètes sur l’air francilien ne sont pas anecdotiques, comme s’en fait l’écho Univers Nature. Selon les calculs d’EcoAct, l’Ile-de-France devrait en effet multiplier par 45, la production de CO2 dqns l’air francilien.
Les calculs prévoient que jusqu’à deux millions de véhicules supplémentaires pourraient circuler ce jeudi, sur l’ensemble des routes franciliennes, avec une moyenne journalière de 30 km par voiture. A titre d’exemple, les émissions de CO2 supplémentaires calculés par EcoAct pour cette seule journée, représenteraient les émissions de gaz à effet de serre de près de 1.500 Français sur une année.
Commentaires récents