L’IFP annonce avoir investi dans un supercalculateur, qui multiplie par 4,5 les capacités de modélisation dans le domaine de la combustion moteur, de la catalyse ou encore de l’optimisation des réserves de pétrole.
L’Institut français du pétrole vient de se doter de nouveaux moyens de calculs scientifiques très puissants pour relever les futurs défis énergétiques. L’IFP a renouvelé ses moyens de calculs hautes performances en se dotant d’un supercalculateur d’une puissance globale de 17 Teraflops (un Teraflop : mille milliards d’opérations par seconde). Cette nouvelle configuration, intégrée par la société Serviware, place l’IFP dans le Top 5 des organismes de recherche publics français en termes de puissance de calcul.
La puissance de calcul disponible est multipliée par un facteur 4,5 par rapport à la précédente configuration, et par un facteur 350 depuis 2003. Cette évolution va permettre à l’IFP de répondre aux besoins croissants de simulation et de modélisation pour relever des challenges technologiques majeurs notamment dans les domaines de la combustion moteur, de la catalyse, du stockage géologique du CO2, ou encore de l’optimisation de l’exploitation de grands réservoirs pétroliers.
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