Le groupe nucléaire français a annoncé jeudi son intention de saisir le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) à propos d’une émission de France 3, « Pièces à conviction », consacrée aux déchets issus des mines d’uranium, et qui doit être diffusée le 11 février prochain.
Areva se fait l’écho d’un dépêche de l’AFP qui relaye « la thèse défendue par le magazine télévisé sur le scandale de la France contaminée par les déchets radioactifs, résidus des mines d’uranium« , indiquant que certaines mines françaises qui ne sont plus en activité depuis de nombreuses années pourraient s’avérer dangereuses.
Pour le groupe nucléaire, « au-delà, les informations délivrées par cette dépêche laissent clairement apparaitre les conclusions auxquelles veulent aboutir les auteurs et donnent le sentiment que le magazine est d’ores et déjà bouclé, à charge contre le groupe Areva« . Areva a décidé de maintenir sa participation à l’émission mais, en raison de ces anomalies, va saisir le CSA.
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