Apr�s deux ans de proc�dures et d’expertises diverses, le Tribunal des affaires de la S�curit� Sociales de Tours a confirm� la d�cision de la CPAM imputant la d�pression et le suicide d’un salari� de la centrale nucl�aire de Chinon, exploit�e par EDF, au stress inh�rent � son emploi.
Les Echos reviennent aujourd’hui sur les faits qui se sont d�roul�s en juin 2004, un salari� de la centrale de Chinon, technicien sup�rieur, avait mis fin � ses jours. Bien not� par sa hi�rarchie, cet homme avait cumul� vingt-sept heures suppl�mentaires dans les six mois pr�c�dent son acte et attendait une prochaine promotion � un poste d’encadrement. Toutefois, le m�decin du travail qui le suivait lui avait prescrit un anxiolytique quelques mois avant son geste.
Alors qu’EDF faisait valoir la r�cente s�paration de son salari� avec sa compagne, le comit� d’hygi�ne de s�curit� et des conditions de travail avait de son c�t� alert� la direction d’EDF sur la souffrance d’une partie du personnel.
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