La 39 ème campagne Vacances Propres a débuté intensément, ce qui traduit bien la motivation des collectivités et des éco-touristes qui ont fait du respect de l’environnement une priorité.
L’association Vacances propres poursuit une nouvelle fois cette année sa mission de protection des lieux de villégiature et développe conjointement des actions en faveur du tri des déchets valorisables en vacances comme à la maison Des missions de contact, des nettoyages de nature et des animations diverses permettent d’agir dès janvier pour promouvoir tout au long de l’année l’esprit de Vacances Propres.
Cette année, les premiers de la classe restent les gens du Nord avec Le Touquet-Merlimont, Berck sur Mer, qui consomment plus de 100 000 sacs Vacances Propres, par an, pour inciter les vacanciers à respecter plages et dunes.
Ils sont talonnés par la côte Atlantique, la Bretagne et les Alpes.
Les Césars du matériel Vacances Propres reviennent au Pays Basque, suivi par le Touquet et la Côte Varoise, Fréjus, Bormes-les-Mimosas, St Tropez, Narbonne-Plage, Villeneuve-Loubet? Et, en ce qui concerne le tri des déchets même en vacances, le pompon est décroché par Le Lac Léman, la Vendée, Ouistreham, Caen la Mer, St Briac, Evian…
3,5 millions de sacs distirbués
Un beau score pour ces régions très fréquentées d’une France qui reçoit plus de 85 millions de touristes chaque année et où le respect du milieu naturel est devenu un enjeu majeur de développement durable. Un constat souligné par l’enquête réalisée en 2008 par l’institut Research International qui confirmait la bonne perception de l’opération Vacances Propres par les Français : 82 % des personnes interrogées ont déclaré qu’il s’agissait d’une excellente campagne à développer davantage. Quant aux collectivités adhérentes, elles sont 93 % à considérer que Vacances Propres est une initiative utile et intéressante.
Chaque année plus de 3 millions et demi de sacs Vacances Propres sont mis en place par les collectivités, permettant ainsi de collecter quelque 20 000 camions-poubelle de déchets sauvages non compactés, soit un volume de quelque 300 000 m3.
Commentaires récents