Au delà de la crainte qu’il a généré parmi les habitants de la cité phocéenne, l’incendie qui a sévi aux portes de Marseille, est à l’origine d’une pollution aux particules en suspension sur la ville. En effet, les vents de sud-est ont entrainé fumée et petites particules vers l’agglomération.
Pour Atmo PACA, l’organisme en charge de la surveillance de la qualité de l’air dans la région, si les niveaux ont tendance a baisser avec l’intensité de l’incendie, « il convient toutefois de rester prudent car les vents prévus pour la journée devraient continuer à transporter les fumées vers la ville« . Mercredi, les niveaux moyens journaliers avaient tous dépassé la valeur limite pour la santé, soit 50 microgrammes par m3 par jour.
Commentaires récents