A l’occasion la présentation de son film « Le syndrome du Titanic » à Strasbourg, Nicolas Hulot a exprimé son pessimisme quant aux chances de succès du prochain sommet de Copenhague sur le climat, en l’absence d’une évolution significative de la position américaine.
« La position américaine était très importante, et on a cru à un moment que l’arrivée d’Obama allait peut-être inverser la vapeur. Sauf qu’Obama, malgré son charisme, sa volonté, découvre que les changements climatiques sont les dernières préoccupations des Américains« , constate l’animateur écologiste. « Si on échoue à Copenhague, c’est comme si on se mettait un bandeau sur les yeux dans le brouillard avec les gaz à fond« , ajoute-t-il.
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