Né en 1945 pour accompagner le développement de l’énergie nucléaire en France, le CEA assume officiellement sa mue en changeant de nom. Le Commissariat à l’Energie Atomique devient le Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives.
« La nouvelle dénomination permet de mieux refléter les domaines de recherches menées par le CEA depuis plusieurs années dans le domaine des énergies bas carbone : nucléaire mais aussi solaire, production d’hydrogène, piles à combustible, stockage de l’électricité pour l’habitat et le transport, transformation de la biomasse en biocarburants », affirme le CEA dans son communiqué.
Créé en 1945 pour développer l’énergie atomique dans l’industrie, la recherche et la défense, le CEA se tourne aujourd’hui de plus en plus vers les énergies renouvelables. « La nouvelle dénomination permet de mieux refléter les domaines de recherches menées par le CEA depuis plusieurs années dans le domaine des énergies bas carbone : nucléaire mais aussi solaire, production d’hydrogène, piles à combustible, stockage de l’électricité pour l’habitat et le transport, transformation de la biomasse en biocarburants. » précise le communiqué.
Plus de 15 500 salariés
« Le CEA a un savoir-faire technologique inégalé dans le nucléaire, mais il nous permet de figurer aux premiers rangs de la recherche mondiale dans le domaine solaire, des biocarburants ou le stockage d’énergie?. Demain, je souhaite qu’il approfondisse encore ces orientations en faveur des autres énergies décarbonées? » a affirmé le Président de la République hier, lors de sa conférence de presse sur le grand emprunt.
Le CEA emploie plus de 15 500 salariés, répartis sur 9 sites. En 2008, le financement des programmes civils du CEA était assuré à 45 % par l’Etat, à 35 % par des recettes externes (entreprises partenaires, fonds incitatifs nationaux, collectivités locales et Union européenne) et enfin à 20 % grâce à deux fonds dédiés à l’assainissement des installations civiles et de défense.
Le CEA emploie plus de 15 500 salariés, répartis sur 9 sites. En 2008, le financement des programmes civils du CEA était assuré à 45 % par l’Etat, à 35 % par des recettes externes (entreprises partenaires, fonds incitatifs nationaux, collectivités locales et Union européenne) et enfin à 20 % grâce à deux fonds dédiés à l’assainissement des installations civiles et de défense.
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