A l’occasion de la journée mondiale de la biodiversité, Suez Environnement prend la mesure des changements biologiques mondiaux et annonce vouloir prendre en compte la préservation de la biodiversité dans chacune de ses activités.
Conséquence d’une population mondiale qui est passée de 2,5 milliards en 1950 à 6,7 milliards aujourd’hui, 39% des espèces animales et végétales sont aujourd’hui considérées comme menacées. L’appauvrissement biologique coûterait ainsi 2 000 milliards par an, soit 6% du produit national brut mondial.En tant qu’opérateur dans le domaine de l’eau et des déchets, Suez Environnement, au delà de ses métiers classiques doit désormais, intégrer la préservation de la biodiversité dans ses activités.
Les métiers de l’eau et des déchets sont à double titre au c?ur des enjeux de protection de la biodiversité. Tout d’abord parce qu’ils agissent directement ou indirectement sur la préservation des ressources naturelles et des matières fossiles : la protection des milieux aquatiques, la réutilisation des eaux usées retraitées, la dépollution des sols, le recyclage des matières premières secondaires sont autant d’actions qui permettent de lutter contre l’appauvrissement des écosystèmes.
Mais aussi parce que, comme toute activité industrielle, les usines de traitement doivent limiter leur empreinte biodiversité. Les sites de traitement occupent parfois plusieurs dizaines d’hectares et font l’objet d’un suivi environnemental d’à minima 30 ans. Ces sites représentent, pendant et après leur exploitation, une opportunité de reconstitution de milieux naturels de qualité.Un nouveau modèle de croissance doit être inventé, plus respectueux des ressources, créateur de valeur pour l’environnement auquel Suez Environnement entend participer
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