Retenue le 2 décembre dernier par François Fillon pour l’accueil d’une plate-forme sur les énergies renouvelables marines, la ville de Brest entend devenir une capitale technologique des énergies marines.
En partenariat avec le Conseil régional, mais aussi Brest Métropole Océane, le technopôle Brest Iroise, la CCI, le Conseil général du Finistère, ou encore le pôle Mer Bretagne, un groupe de pilotage a été mis en place par l’Ifremer. Il travaille aujourd’hui à la mise en place de cette plate-forme de recherche et d’innovation autour de la production d’électricité issue de l’énergie des mers (vent, courant, thermique, etc.).
Suite à la décision du Premier ministre, le groupe DCNS a annoncé son projet d’implanter à Brest un incubateur dédié aux énergies marines renouvelables. Spécialiste européen des systèmes navals de défense, DCNS veut devenir un acteur majeur dans les énergies marines renouvelables.
Pour rappel, le Grenelle de la mer a décidé d’engager un plan « énergies bleues » financé à hauteur de 400 millions d’euros par le fonds démonstrateur de l’Ademe prévoyant la production de 6 000 mégawatts d’énergies marines en 2020.
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