Après Chantal Jouanno, c’est au tour de Jean-Louis Borloo de plaider en faveur d’un cadre plus clair pour le principe de précaution, un « bon concept » mais employé de façon abusive.
« On a un problème général d’utilisation d’un terme dans un langage courant, un langage médiatique qui peut effectivement avoir des répercussions sociales ou sociétales, » explique le ministre de l’Environnement.
« Il y a en réalité une forme de quiproquo, de malentendu entre l’utilisation faite dans le grand public de la notion de principe de précaution, et la notion juridique », ajoutait de son côté Valérie Pécresse, la ministre de la Recherche.
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