Renvoyé devant le tribunal correctionnel de Nanterre pour espionnage de Greenpeace, EDF nie les accusations portées par l’ONG et « réserve à la justice ses déclarations dans le cadre de l’audience à venir, qu’elle attend avec confiance et sérénité ».
EDF « conteste formellement les faits qui lui sont reprochés », a affirmé hier Alexis Gublin, l’avocat du géant de l’énergie, accusé de « complicité et recel d’intrusion frauduleuse dans un système informatique ». Révélée en 2009, l’affaire implique EDF et deux anciens responsables de la sécurité du groupe, mis en examen l’année dernière pour avoir frauduleusement piraté l’ordinateur de Yannick Jadot, alors directeur des campagnes de Greenpeace France.
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