Les médecines douces ne portent peut-être pas bien leur nom. Les médecines parallèles ou alternatives peuvent représenter un danger pour les enfants, avec des effets secondaires graves voire mortels selon une étude australienne, reprise par Les Echos.
Soigner les enfants avec des médecines dites douces ou naturelles (homéopathie, sophrologie, hypnose, etc.) pourrait provoquer de sérieux effets secondaires, parfois mortels, selon une étude d’une équipe australienne, publiée dans la revue « Archives of Disease in Chilhood ». En deux ans, l’étude aurait identifié au moins 39 enfants victimes d’effets secondaires graves voire mortels en raison de l’utilisation excessive ou mal adaptée de médecines alternatives, sans préciser la nature précise de ces pratiques.
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