Hasard ou coïncidence ? Au moment même ou la ministre de l’environnement reconnait que les retombées de la catastrophe nucléaire japonaise pouvaient concerner la France, un ballon dirigeable survole cette semaine Paris à basse altitude, pour mesurer le niveau de radioactivité de la capitale.

Menée dans le cadre d’un programme de recherche scientifique géré par le Secrétariat Général de la Défense et de la Sécurité Nationale (SGDSN), cette étude doit permettre d’établir une cartographie de la radioactivité à Paris. Le Zeppelin qui survole la capitale depuis le 12 mars jusqu’au 20 mars, à environ 150 mètres est équipé de nombreux capteurs destinés à effectuer différentes mesures et analyses.

Menée dans le cadre d’un programme de recherche scientifique géré par le Secrétariat Général de la Défense et de la Sécurité Nationale (SGDSN), cette étude doit permettre d’établir une cartographie de la radioactivité à Paris.