Selon une nouvelle étude Ipsos sur le bilan carbone des ménages français, plus la taille du foyer est important, plus son impact environnemental par personne se révèle réduit. Les modes de vie des français influent clairement sur leurs émissions de CO2, même si celles-ci sont parfois contraintes.
Après avoir étudié le comportement de 2.000 ménages en matière de transports, de logement et d’alimentation, le cabinet de conseil de stratégie en développement durable Green Inside livre aujourd’hui son Observatoire du bilan carbone des ménages français. Sans surprise, il constate que la taille du foyer représente un élément majeur dans l’impact environnemental des français.
Si une famille de 5 personnes présente un bilan carbone globalement faible, à l’inverse, un célibataire ou des retraités sont nettement moins sobres en CO2, ne bénéficiant à plein de la mutualisation familiale en termes d’énergie, de transports et d’alimentation. De même, globalement un urbain consommerait plus de CO2 qu’un rural en raison des transports et un cadre voyageant régulièrement en avion plus qu’un ouvrier ne prenant pas de vacances.
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