Comme chaque année depuis 2006, le gouvernement relance un dispositif de prévention et de lutte contre le moustique Aedes albopictus. Potentiellement transmetteur de la dengue et du chikungunya, ce moustique désormais installé dans le Sud de la France fait l’objet d’une surveillance très particulière pour tenter de ralentir son développement inquiétant.
Les pouvoirs publics misent avant tout sur la prévention et la surveillance attentive des moustiques mais aussi des cas humains infectés par les virus de la dengue et du chikungunya, concernant pour l’heure uniquement des voyageurs de retour de zones tropicales. Mais le ministère de la Santé appelle également à une « mobilisation communautaire », chacun étant invité à modifier son comportement en adoptant des gestes simples comme notamment la suppression des eaux stagnantes qui favorisent la reproduction des moustiques, à l’intérieur comme à l’extérieur des habitations.
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