L’IRSN vient de publier hier une synthèse rassurante des résultats des mesures de radioactivité effectuées en France dans le cadre de la surveillance de l’impact des rejets de l’accident nucléaire de Fukushima Daiichi.
Pour l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, si le nuage radioactif japonais est bien passé au-dessus de la France à partir du 24 mars, il n’a présenté « à aucun moment » un risque environnemental ou sanitaire, en raison de très faibles concentrations. Les concentrations les plus élevées en iode et en césium ont été observées entre le 27 mars et le 7 avril dans l’air, et jusqu’à mi-avril dans les végétaux et le lait précise l’IRSN.
Ces concentrations se situaient à des niveaux de 500 à plus de 1 000 fois inférieurs à ceux mesurés début mai 1986 en France suite à l’accident de Tchernobyl relativise l’institut français.
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