L’industrie nucléaire française va-t-elle payer au prix fort l’après-Fukushima ? Oui à en croire, une dépêche AFP qui évoque un plan de suppression de 2 700 à 2 900 d’emplois chez Areva, dans 1 000 en France, une information aujourd’hui démentie officiellement par le groupe.
Au lendemain de cette révélation, le ministre de l’Economie a convoqué aujourd’hui Luc Oursel, président d’Areva à Bercy pour « prendre connaissance du plan stratégique » que le groupe devait dévoiler début décembre. « Je souhaite voir le plan stratégique » a expliqué François Baroin sur France 2, avant de recevoir cet après-midi le successeur d’Anne Lauvergeon.
« Il n’y aura pas de suppression d’emploi chez Areva » a d’ores et déjà annoncé le ministre de l’Economie. « Je ne pense pas qu’il puisse y avoir en France, en ce moment, des suppressions d’emplois chez Areva » avait affirmé Eric Besson, ministre de l’Energie dimanche sur LCI.
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