Au lendemain de l’adoption par la commission des Finances de l’Assemblée d’un amendement Nouveau Centre visant à taxer les sacs de fruits et légumes non biodégradables à partir du 1er janvier 2014, les professionnels se sont dits opposés à cette taxe qui provoquerait une hausse des prix de l’ordre de 5% selon eux.
Cette taxe provoquerait une « inflation sur des produits alimentaires de première nécessité » et serait contraire à la politique de santé publique actuelle, ont affirmé dans un communiqué la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD) et l’union nationale des syndicats de détaillants en fruits, légumes et primeurs (UNFD). La filière chiffre cette mesure à 500 millions d’euros, revenant à tripler voire quadrupler le prix de chaque sac.
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