Des peines de 4 à 6 mois de prison avec sursis ont été requises vendredi, à l’encontre des 9 activistes de Greenpeace qui s’étaient introduit dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine dans l’Aube dans la nuit du 4 au 5 décembre 2011, accompagnées d’une amende de 1 000 à 1 500 euros pour chacun d’entre eux. Le jugement est prévu le 21 février prochain.
Se défendant en expliquant avoir voulu alerter l’opinion publique de la dangerosité de centrales nucléaires non sécurisées, les accusés risquaient 5 ans de prison ferme et 75 000 euros d’amende. Le procureur a notamment reproché à Greenpeace d’encourager par ces actions une « dérive encore plus sécuritaire, encore plus policière ».
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