Après un début de polémique, les chercheurs travaillant actuellement à la création d’un « supervirus » H5N1 de la grippe aviaire capable de se transmettre aux humains, devront attendre « une évaluation plus complète des conditions de sécurité » avant de reprendre leurs travaux et de les publier, a annoncé vendredi l’OMS.
A la différence du comité de biosécurité américain qui avait recommandé, fin décembre, une publication seulement partielle des résultats des études en cours, afin de prévenir les risques de bioterrorisme, les experts de l’OMS réunis à Genève se sont prononcés pour une publication complète, « pour des raisons de santé publique ».
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