La transparence n’est toujours pas la bienvenue en Chine. Irritées depuis plusieurs années par ce qu’elles considèrent comme une ingérence, les autorités chinoises viennent de sommer les Etats-Unis d’arrêter de publier leurs mesures de qualité de l’air en Chine.

Pékin a officiellement sommé l’ambassade américaine de ne plus publier ses mesures de qualité de pollution atmosphérique, considérant que cette initiative serait « contraire à la loi et aux conventions diplomatiques ». L’ambassade des États-Unis publie toutes les heures le résultat de ces analyses sur Twitter, qui confirment la forte pollution de villes comme Pékin, Shanghai et Canton.

Les USA ne « prévoient pas d’arrêter de publier ses données sur la qualité de l’air » a répondu Marc Toner, porte-parole du département d’État, invitant la Chine à faire de même si elle le souhaite pour les villes américaines. Plus de 650 000 personnes meurent chaque année de maladies liées à la pollution atmosphérique en Chine selon l’OMS.

La transparence n’est toujours pas la bienvenue en Chine. Irritées depuis plusieurs années par ce qu’elles considèrent comme une ingérence, les autorités chinoises viennent de sommer les Etats-Unis d’arrêter de publier leurs mesures de qualité de l’air en Chine.

Pékin a officiellement sommé l’ambassade américaine de ne plus publier ses mesures de qualité de pollution atmosphérique, considérant que cette initiative serait « contraire à la loi et aux conventions diplomatiques ». L’ambassade des États-Unis publie toutes les heures le résultat de ces analyses sur Twitter, qui confirment la forte pollution de villes comme Pékin, Shanghai et Canton.

Les USA ne « prévoient pas d’arrêter de publier ses données sur la qualité de l’air » a répondu Marc Toner, porte-parole du département d’État, invitant la Chine à faire de même si elle le souhaite pour les villes américaines. Plus de 650 000 personnes meurent chaque année de maladies liées à la pollution atmosphérique en Chine selon l’OMS.