Au lendemain de la publication de l’étude alarmante de Gilles-Éric Séralini sur la toxicité des OGM, Benoît Hamon a annoncé qu’il demandera « sans délai » l’interdiction de l’importation de cet OGM en Europe et sa commercialisation en France, si cette étude était validée et confirmée.

Si la méthodologie de l’étude « SERALINI » est validée et confirme l’existence d’un risque lié au maïs transgénique NK603 de Monsanto, le ministre délégué en charge de la Consommation saisira, sans délai, la Commission européenne en vue d’interdire l’importation de cet OGM en Europe et d’en suspendre la commercialisation en France annonce le gouvernement.

Le ministre délégué rappelle aux consommateurs l’existence d’un étiquetage volontaire « sans OGM » qui permet d’identifier des produits sans OGM et d’exercer ainsi un choix parmi l’ensemble des produits à la vente.