Cette mesure est reportée « sine die » (sans échéance). Par une seule phrase, Manuel Valls a vraisemblablement enterrée hier définitivement l’obligation pour l’automobiliste français de disposer d’un éthylotest dans sa voiture.
« Nous avons un problème de fiabilité de fixation des lieux de distribution et d’utilisation correcte », a expliqué le ministre de l’Intérieur pour justifier ce volte-face. Le gouvernement attend désormais les conclusions du Conseil national de la sécurité routière, qui rendues publiques mi-février.
Pour rappel, la verbalisation de cette infraction devait entrer en vigueur le 1er mars prochain.
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