Alors qu’il n’a pris ses fonctions que lundi, le nouveau maire de Pékin, Wang Anshun, se retrouve immédiatement plongé dans l’épineux problème de la pollution. Hasard ou coïncidence, depuis hier, le ciel de la capitale chinoise est plombé par un épais brouillard et la qualité de l’air y est déplorable.
Wang Anshun, le nouveau maire de pékin a donc pris ses fonctions hier. Et pour l’accueillir, la ville qui abrite 20 millions d’habitants, s’est parée d’un épais brouillard. Et, l’indice de qualité de l’air de l’ambassade américaine de Pékin, indice qui fait désormais référence, était de 484 à 15h hier. Or, au-delà de 150 cet indice est considéré comme « malsain » par l’OMS, « dangereux » au-delà de 300 et « hors indice » si les 500 sont dépassés.
Problèmes « inquiétants » selon le maire de Pékin
Face à ses conditions extrêmes, le nouveau maire a été obligé de reconnaitre que « les problèmes environnementaux actuels étaient inquiétants ». La presse a également souligné l’urgence de la situation. Et publiés à l’attention du nouveau maire, les résultats d’un sondage mené auprès de la population montrent que cette pollution persistante est le problème numéro un des pékinois, devant les embouteillages monstres qui congestionnent la ville.
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