L’éruption du volcan islandais Eyjafjöll en 2010 a perturbé beaucoup de voyageurs, mais également fertilisé l’Atlantique Nord. Les rejets de centaines de millions de tonnes de cendres dans l’océan Atlantique auraient en effet permis d’enrichir les eaux en fer, assurant notamment le développement du phytoplancton.
L’étude britannique du Centre national d’océanographie de Southampton dont se fait l’écho Le Parisien aujourd’hui, révèle que les cendres de l’Eyjafjöll auraient favorisé la baisse des nitrates, et avec elle la croissance de la faune et de la flore sur vaste une zone océanique de 570 000 km2 dans l’Atlantique nord.
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