Le printemps pourri 2013 a déjà des conséquences directes sur de nombreux secteurs de l’économie. Chez les producteurs de fruits et légumes, on évoque un retard de 3 semaines en raison de températures trop basses, du manque d’ensoleillement et de pluies trop importantes.
Si le secteur ne connaît pas encore de tensions, la demande restant pour l’instant faible en fruits et légumes, la situation pourrait évoluer en début d’été. Si la chaleur ne revient pas, l’Interprofession des fruits et légumes (Interfel) se montre particulièrement inquiète pour les cerises et plus généralement les fruits rouges qui manquent de chaleur et sont victimes des maladies liées à l’excès d’humidité.
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