Accusée par la Commission fédérale de réglementation de l’énergie (FERC) d’avoir manipulé le marché américain de l’électricité entre 2006 et 2008, la banque Barclays va refuser de payer l’amende de 470 millions de dollars croit savoir le « Financial Times ». L’établissement britannique serait prêt à défendre « vigoureusement » ses droits devant la justice américaine, souligne Les Echos aujourd’hui.
Malgré les e-mails avancés par la FERC censés l’accuser, Barclays considère qu’il n’y a pas de preuve de manipulation des prix du marché, niant le fait qu’elle aurait délibérément perdu de l’argent sur le marché primaire de l’énergie pour avantager ses positions en produits dérivés.
Commentaires récents