On sait désormais pourquoi certains ont tendance à ne voir que le verre à moitié vide. En cause, une variante d’un gène qui conduirait les personnes prédisposées à ne jamais voir le verre à moitié plein mais au contraire à se concentrer régulièrement sur l’aspect négatif des situations.
Selon l’étude de l’Université canadienne de Colombie-Britannique publiée dans la revue Psychological Science, le responsable de ce pessimisme systématique serait l’ADRA2B, un gène influençant la noradrénaline, un neurotransmetteur utile pour le système nerveux. Les individus possédant une variante de ce gène seraient plus enclin à percevoir les dangers et à s’inquiéter des risques que les autres.
Commentaires récents