Quelques jours seulement après la libération des 30 membres de l’équipage du brise-glace l’Arctic-Sunrise par la justice russe, l’association écologiste annonce son retour dans les eaux russes de l’océan Arctique pour empêcher son exploitation.
« Ne pas retourner dans l’Arctique russe n’est pas envisageable pour nous » affirme Pascal Hurting, directeur des campagnes internationales de Greenpeace dans une interview accordée au Monde. « Il faut affiner notre tactique » précise cependant le militant écologiste, qui espère récupérer rapidement le navire pour l’heure toujours confisqué par les autorités russes.
Désormais, « il s’agit pour nous d’établir un rapport de forces avec Shell, BP, Exxon, contre lesquelles nous agissons depuis longtemps » pour qu’elles ne collaborent pas avec la Russie en Arctique.
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