Autrefois séduisante pour les touristes, Pékin paye aujourd’hui les frais de sa pollution atmosphérique. En effet, le nombre de touristes étrangers visitant la capitale chinoise a chuté de 10% en 2013 par rapport à 2012.
Pékin, réputée pour sa Cité interdite, sa Grande muraille, récolte aujourd’hui les fruits de son importante et incessante pollution atmosphérique. La ville enregistre en effet en 2013 une chute de 10% du tourisme étranger par rapport à 2012. Selon l’étude menée par l’Association touristique de Pékin, ce recul s’explique par « le ralentissement de l’économie mondiale » mais surtout par « le brouillard polluant » dans lequel est plongée la ville quasi quotidiennement.
Les importants pics de pollution enregistrés dans la capitale chinoise, également appelés pics « d’airpocalypse », ont été massivement médiatisés à l’étranger et les solutions apportées par les autorités chinoises au problème n’ont pas convaincu les touristes.
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